dimanche 14 août 2011

ArNo


Né à Reims le 25 août 1963, à l’âge de 18 ans, il entre en stage chez le photographe Robert Meule.

Déjà la passion de la photographie, le conduit à saisir tous les aspects de la cathédrale Notre-Dame de Reims, véritable joyau de l’Occident chrétien.

Il expose pour la première fois dans une brasserie de la place Drouet d’Erlon, cœur vibrant de la jeunesse rémoise.


ArNo embrasse le métier d’antiquaire sans jamais abandonner son travail de photographe.

Puis les hasards de la vie l’on conduit en Aquitaine, d’abord en Dordogne puis en Lot-et-Garonne.

Il se veut un citoyen d’Aquitaine, citoyen du monde…

Aujourd’hui, homme libre, il voue une passion dévorante pour la mer, pour l’océan, pour la maîtrise de vieux gréements pour l’amour de la vie tout simplement !

Après avoir navigué sur les eaux tumultueuses de Bretagne, c’est à bord de son voilier « Xavy », corsaire des années 1960, qu’il navigue depuis plusieurs années sur le bassin d’Arcachon découvrant sans cesse des sites, des rivages souvent ignorés des vacanciers trop nombreux qui foulent la presqu’île, qui foulent le bassin…

Membre actif depuis quelques années de l’Association « Voiles d’Antan du Bassin d’Arcachon » il milite avec tous les amoureux de bateaux traditionnels pour la sauvegarde, la restauration et l’entretien de ce patrimoine maritime qui a tendance à disparaître petit à petit et qui fait la gloire du bassin. Il n’oublie pas tout le patrimoine bâti comme les anciens chais ostréicoles qu’il faut défendre et sauver de la destruction. Son association en a sauvé quatre !

Il est de toutes les manifestations maritimes, de toutes les régates pour saisir l’instant magique des vieux gréements en action

Aujourd’hui, ArNo s’est pris de passion pour l’Algarve, terre de contrastes, baignée de soleil, balayée par les vents de l’océan, aux confins de l’Europe. Il y retrouve la mer, les bateaux traditionnels comme les « moliceiros » ou les « traineira » ainsi que des paysages grandioses à couper le souffle.

Son projet, à très court terme, est de s’y installer, d’y vivre et d’y poursuivre son travail photographique, le regard inlassablement tourné vers les autres.


ArNo travaille avec un Nikon D 700 grippé. Un AF-S NIKKOR 24-70 mm f : 2.8G et un AF–R NIKKOR 70-200 mm f : 2.8G.


Tout un hameau dans le Perche a vendre































samedi 19 mars 2011

La pinasse du Bassin d'Arcachon











Les amoureux du Bassin d'Arcachon qui viennent à sa rencontre ont dû apercevoir soit dans un petit port, soit sagement amarées, soit navigant, les célèbrissimes et mythiques pinasses. Blanches et rouges, vertes et jaunes,bleues et blanches, bleues et rouges, noires et jaunes; jamais une embarcation n'a aussi bien que la pinasse du Bassin d'Arcachon correspondue à un milieu aquatique. Ces bateaux sont véritablement l'âme de ce site unique.
Sur un point de vue étymologique le mot pinasse pourrait venir du latin "pinax"; c'est à dire la planche. La pinasse aurait pour ancêtre la pirogue monoxyde.
Au début du XX° siècle, on pouvait distinguer la grande pinasse accueillant seize hommes d'équipage, elle était rèservée à la pêche en haute mer (9 mètres de long). On peut distinguer historiquement plusieurs types de pinasses, mais aujourd'hui, le type arcachonnais de référence fait 9 mètres de longueur sur deux de large avec un déplacement de 1,3 à 1,5 tonne. La bâtarde (8,50 mètres de long) et enfin la pinassote qui accusait moins de 7 mètres de long. Elles étaient soit à voile, soit à rames.
Albert Couach et Auguste Bert qui ont mis au point la première pinasse à
moteur: "Libellule", fut mise à l'eau en 1903. Elle Fonctionnait alors au pétrôle lampant. Les gens du pays la surnommèrent "la pétrôleuse". On peut encore en croiser quelques unes, si reconnaissables à leur bruit de moteur tellement caractéristique.
Il faudra attendre les années 1948-1949 pour assister à la construction en série de ces merveilleux bateaux.
Aujourd'hui, des chantiers navals continuent de construire des pinasses.
Les coques ne sont parfois plus en bois, quelques unes sont équipées de moteur électrique mais l'allure reste la même.
Les passionnés de pinasses anciennes ne manquent pas de les contempler et de les photographier lors de rassemblements de bateaux traditionnel ou de régate de pinassote à voile pour un instant d'éternité.

mardi 8 février 2011

Le Piercing

Reportage photo chez Percikopat.
Studio body piercing - vente de bijoux
Bordeaux









Piercing à la langue

la perforation de la langue était pratiquée sous forme rituelle par les Aztèques et les Mayas en Amérique centrale, et par les tribus Haida, Kwakiutul et Tlinglit du nord-ouest américain. Les Shamans perçaient leur langue afin d'offrir leur sang aux dieux et pour créer un état de conscience modifié permettant de communiquer avec eux.

les fakirs du moyen et extrême Orient sont aussi connus pour leurs transfixions linguales temporaires.

de nos jours, le piercing de la langue est l'un des plus populaires. Il est à la fois
« choquant », provocateur et objet d'érotisation bien qu'étant le plus souvent invisible pour les autres.











Ancrage dermique

Nouveau dans le milieu du piercing, un bijou de surface implanté sous la peau avec une seule bille en surface. Les amateurs de micro piercing vont être comblés chez Percikopat !!!

ancres cutanée semblent être devenus à la mode ces derniers temps dans le monde de perçage corporel. ancrage cutané est une procédure dans laquelle bijoux est implanté sous les couches de peau par une ouverture unique plutôt que d'être placés dans un tunnel avec deux ouverture comme dans piercings traditionnels. La première utilisation de ce type de procédure est souvent attribuée à Bejamin Trigg, bien qu'il y ait actuellement un débat quant à la validité de cette revendication. Malgré ses origines, l'ancrage cutanée ou implant piercing comme on l'appelle parfois est devenu très populaire et a attiré sur le monde entier.